Monday, December 26, 2016

Critique approfondie - Pinterest - Camille Arnoux

Critique Approfondie de Pinterest :

Ayant utilisé le site Pinterest pour mon portrait de ville, j'ai décidé d'approfondir cet outil que je trouve tout à fait digne d'intérêts.

  • Informations utiles sur le site :

Pinterest est un site américain crée en 2010 permettant un partage de photos et de réseaux sociaux. Par de simples photos, le site nous offre la possibilité de partager nos centres d'intérêts, nos passions, nos hobbies ou tous simplement un récit de voyage. Grâce à son inscription gratuite, Pinterest reste ouvert au monde entier et nous permets de visionner indéfiniment des photos. Le nom du site est un jeu de mot entres les mots « pin » (épingler) et « interest » (intérêt).
  • Mon avis :

J'ai découvert cet outil grâce aux cours de méthodologie et il est devenu pour moi, un des outils les plus utiles et intéressant à utiliser. A l'instar de ses frères : Instagram, Tumblr, etc, Pinterest nous permets d'utiliser des photos pour un devoir ou même un mémoire. L’absence de sources que l'on peut retrouver sur d'autres sites, ici est beaucoup moins contraignante. On peut aussi noter la présence de nombreux comptes universitaires et des comptes de chercheurs. Pour mon portrait de ville qui se posait sur la ville de Gyeongju en Corée du Sud, j'ai pu retrouver des centaines de cartes, photos et tableaux datant d'avant J-C à nos jours et pour la plupart dotés de sources. Avant la découverte de cet outil, je ne pensais pas qu'il était possible de trouver autant de sources historiques sur un tel site. En plus de sa gratuité, le site nous offre vraiment une liberté de mouvement que cela soit pour un projet professionnel ou simplement une curiosité passagère.
Il est néanmoins important de noter qu'il faut faire un véritable travail de recherche sur ce site, les comptes que j'ai pu trouver en survolant le site ne m'ont pas été plus utiles que cela, hors en approfondissant ma recherche je suis tombée sur une multitude de sources.
Comme sur les autres réseaux sociaux, sur Pinterest nous pouvons nous « suivre » d'autres comptes et ainsi rester dans l'actualité. Et bien sur, il nous est tout à fait possible de poster nos propres photos et récits.
Un des points qui m'a aussi très plu, est le fait que nous pouvons chercher des photos ou sources en plusieurs langues. Pour mon portrait de ville, j'ai cherché quelques photos en coréen et j'ai réussi à en trouver. Malheureusement, le site n'étant pas un outil très développé en Corée du Sud, le nombre de sources étaient très réduit comparé à quand on tape en anglais ou français.
Pour finir, grâce à la barre de recherche et à l'outil à sa droite, notre recherche peut être faciliter et nos centres d'intérêts délimités.
  • Conclusion :

En conclusion, je suis tout à fait satisfaite de ce site et des ses avantages. Dans une optique professionnelle, je me vois tout à fait l'utiliser de nombreuses fois. Hors pour une recherche personnel ou une simple curiosité, je ne vois pas l'attrait que peux avoir ce site. Étant plus attiré par les réseaux sociaux tel Intragram, j'aurais tendance à l'aller vers ce type de site. Pour Pinterest, l'intérêt se situe vraiment dans la présence de sources et de comptes professionnels. Il n'en reste pas moins un site très agréable d'utilisation notamment grâce à son design très épuré et à son interface qui peut nous rappeler de nombreux réseaux sociaux. Je conseille à toutes personnes souhaitant s'instruire ou juste passer un peu de temps, à aller sur ce site qui nous permets de s’instruire de manière ludique.


Camille Arnoux ACA LCSA M1

Tuesday, December 20, 2016

Critique approfondie – Pinterest

Pinterest


Pinterest, créé en 2010, est un site américain de partage de photos et d’image à travers le monde, un peu à la manière d’Instagram. Au niveau de la présentation, le site Pinterest se présente comme un réseau social avec quasiment les mêmes fonctionnalités comme les abonnés, les abonnements, les commentaires, les profils, les boites de réceptions, etc.
En plus de partager ses propres clichés il est également possible d’« épingler » ceux des autres sur notre propre profil et de les répertorier par tableaux. Ces tableaux servent, à l’image des catalogues, à regrouper une collection d’image sous un même thème. Les images proposées sur notre accueil sont des images ciblées par rapport aux centres d’intérêt sélectionnés lors de notre inscription ou par rapport à notre dernière recherche sur le site. Au final, après quelques utilisation votre profil deviendra un véritable catalogue d’images.
Le site propose également une extension sur votre moteur de recherche et celle-ci s’avère être assez pratique. En effet, j’ai moi-même testé d’épingler un site internet à mon profil grâce à l’extension et, à ma grande surprise, le site était déjà enregistré dans Pinterest et ce dernier me proposé simplement le choix de l’image à intégrer à mon profil.

Chaque image enregistrée dans Pinterest n’est jamais enregistrée seule mais est toujours accompagnée de sa source et donc de son lien url. Une façon très rapide de retrouver ses sources et de découvrir plus d’informations.

La possibilité de se connecter au site grâce aux réseaux sociaux que Facebook, Twitter, Google + ou encore Yahoo montre qu’il est également possible d’effectuer des exportations de ses épingles sur ses différents réseaux sociaux ou tout simplement de partager le lien URL correspondant.  
Le moteur de recherche sous forme de mots-clefs est très intéressant afin de cibler le contenu désiré. Cependant, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. En effet, l’utilisation excessive de mot-clef empêche parfois un résultat intéressant et nous met en relation avec un sujet en total opposition de notre sujet de départ.

Au niveau des paramètres, Pinterest propose beaucoup d'options et est un site disponible pour tous au vu de la barre des langues. Ceci est intéressant et peut donc permettre une recherche autour du monde  notamment en recherchant dans différentes langues. Ainsi, nous pouvons obtenir des résultats divers et surement des résultats qui n’étaient pas proposé lors de notre recherche dans notre langue maternelle.



Malgré un accès rapide et une utilisation très ludique, Pinterest s’adapte plus à un contenu de la vie quotidienne. Celui-ci serait plus adapté à un passe-temps plutôt qu’à une véritable recherche d’information. En effet, ce site me rappel plus le but des réseaux-sociaux qui est de partager les choses que l’on aime ou que l’on fait plutôt que de véritablement partager des savoirs. Pinterest reste donc pour moi une plateforme utilisée pour le loisir. De plus, le système de mot-clef prouve que les résultats ne sont pas toujours convaincants mais encore moins sur une site sociale populaire dans lequel les hors sujets font trop vite leurs apparitions. Dans le cadre d’une recherche, Pinterest n’est pas spécialement intéressant pour sa fonction de recherche qui serait plus ici une perte de temps considérable. En revanche, le classement par tableau accompagné de liens hypertexte reste lui très intéressant et utile dans le cadre d’une collecte d’information, comme un lieu de stockage. D’ailleurs, l’enregistrement rapide et automatique des éléments me fait penser au système de Zotero que j’aurais plus tendance à conseiller pour une collecte d’information du fait que la collecte de donné de ce dernier est plus précise. 

Note critique « Toute la mémoire du monde »

"Toute la mémoire du monde" - Alain Resnais

« Toute la mémoire du monde » est un court-métrage réalisé par Alain Resnais en 1956. Ce film nous plonge dans un véritable voyage dans le temps dont la scène se déroule à la bibliothèque nationale de France, aussi connue sous le nom de Bnf, à Paris. C’est dans ce lieu que sont conservées toute les créations écrites, réalisées de la main de l’homme et ces dernières se compte par millions. En effet, la bibliothèque ne conserve pas seulement des ouvrages mais également bien d’autres créations, toutes rangées par catégorie comme une pièce dédiée aux estampes, le cabinet des médailles, le département des cartes et des plans, etc. Des trésors historiques qui ont commencés à être amassés par le roi Louis XIV. Tous ces documents sont conservés à la bibliothèque nationale de France. De ce fait, la recherche peut paraître laborieuse. 
C’est alors qu’Alain Resnais nous montre à travers ce film toute l’organisation mise en place afin que chaque document soit aisément trouvable. En effet, chacun d’entre eux sont triés, analysés, numéroté puis ranger par « mot clef » afin que tous les documents soient répertoriés. Ce répertoriage donnera, quelques années plus tard, « le grand catalogue des imprimés » composé de fiches signalétiques disposées dans différents classeurs. Un catalogue qui est aujourd’hui une méthode très largement rependue et modernisée.

Les dons, achats, échanges et dépôts légaux sont les quatre sources d’enrichissement de la bnf dont la dernière est la plus importante. Elle oblige aux éditeurs à fournir plusieurs exemplaires de leurs ouvrages. Ceux-ci seront ensuite estampillés, enregistrés grâce à leur fiche signalétique puis répartis dans les différentes sections des catalogues.



Ce court-métrage nous prouve l’importance du classement des documents, surtout lorsque ces derniers sont nombreux. Un travail minutieux qui peut prendre un certain temps mais qui au final reste bénéfique lors de la recherche. 

Sunday, December 18, 2016

Critique approfondie – Pinterest



Pinterest est un réseau social créé en 2010 dit réseau de « life style ».  C’est à dire qu’il permet à ses utilisateurs d’aimer et de partager photographies et vidéos. Mais sa fonction principale est de sauvegarder les postes aimés et les « épingler » à un tableau. Un peu comme un patchwork qui rassemblerait images et idées, et qui reflèterait nos intérêts, goûts et préférences, au départ éparpillés dans le web, sur une seule et même page. Un marque page connecté. Il permet de se mettre au courant des dernières tendances, de trouver de quoi s’inspirer, de faire de la recherche d’images.

Chaque poste est relié à un hyperlien qui mène directement au site web qui le concerne et où l’on peut trouver l’information que l’on recherche. Il possède aussi le même principe de « reposte » ou « retweet » de Facebook et twitter, le « re-pin » qui permet de mettre en lien des personnes partageant les mêmes centres d’intérêts. Ainsi, il est possible de « suivre » un autre membre en s’abonnant à lui ou il est même possible de s’abonner au tableau d’un autre utilisateur. L’abonnement à des thèmes prédéfinis est aussi possible et rassemble des choix plus larges que lors d’une recherche directe. Après avoir enregistré/épinglé un poste, on peut y laisser un commentaire, une astuce, un avis, une photo… . Les épingles ou postes peuvent être aussi envoyé à un contact et être partagé sur Facebook, Messenger, Twitter, Google+, Yahoo ou même juste récupérer le lien de l’épingle. Après avoir aimé, épinglé ou partager un poste, le site nous redirige vers d’autres postes liés au précédant et qui pourraient nous intéresser. On peut aussi ajouter un contenu à partir d’un site Web. Pour ça il suffit de cliquer sur le bouton « Pin It » si il apparaît sur le site, ou sinon de rajouter directement la page web à partir de Pinterest en utilisant l’URL du site ciblé. Enfin, on peut ajouter du contenu à partir de notre ordinateur. Mais cette fonction est plus utilisée par les professionnels (commerçants, entreprises). Ainsi, le site contient aussi des postes à visée commerciale. Le site est facile d’accès et simple à utiliser. Même si son interface est agréable (un peu comme un scrapbook), il n’est pas modifiable ou personnalisable. La version mobile (accessible sur Android) est plus agréable à utiliser avec une fonction de « swipe » (faire glisser le doigt sur l’écran pour faire défiler les images). En outre, en plus d’envoyer des épingles à vos contacts, il est aussi possible de communiquer avec eux par messages directement sur l’application Pinterest.


En conclusion, Pinterest est un mélange entre un site de partage de photos (Flickr, 500px…) et un réseau social. Il est surtout intéressant pour les entreprises souhaitant faire la promotion de leurs produits, faire parler de leur marque… . Mais malgré tous ses bon côtés, ce n’est pas un site sur lequel je passerai beaucoup de temps, certains postes reviennent plusieurs fois dans notre flux, il n’y a pas vraiment de mouvement à moins de l’initier. Ainsi, si je n’ai pas une idée précise de ce que je cherche (image, astuce, bon plan…), l’idée d’aller sur Pinterest ne me viendrait pas à l’esprit. De plus, les images ne font pas toujours référence au contenu du site qui leurs sont reliées, et certaines sources ne sont pas fiables ou incomplètes, mais il est possible de contacter directement l’auteur du poste et de lui demander des informations si on le souhaite. Si vous êtes à la recherche d’une alternative plus active, il existe Tumblr, agréable à utiliser mais plus orienté réseau social de style blog.

Note critique : "Writing A Digital History Journal Article from Scratch"

ÉCRIRE L'HISTOIRE DIGITALE À PARTIR DE RIEN : UN COMPTE

En 2001, Willian G. Thomas et Edward L. Ayer furent chargés d'alimenter la version digitale de la revue American Historical Review. Il s'agit d'une série de travaux qui sont publiés sur un site collaboratif. Ce groupe d'historiens américains ont décidé d'y présenter l'Histoire de l'esclavage en Amérique avant la guerre de sécession.

Le site est un assemblage d'articles numériques, un travail de groupes universitaires, conduits par Robert Darnton, président de l'Association américaine d'histoire en 2000 avec "Early Information Society".

Le travail en digital constitue un nouveau matériaux et peut parfois être difficile d'accès pour les utilisateurs de ces sources. Il importe de savoir comment citer ce genre d'article scientifique qui ne se réduit pas à un site internet de savoir à l'image de Wikipedia. Il faut réglementer l'accès de manière restrictive au profit de chercheurs apportant des travaux de référence.

Ils ont voulu étudier comment intégrer la forme digitale dans les articles qu'ils désiraient insérer. Ils ont travaillé étroitement avec une équipe d'étudiants diplômés et des informaticiens. Il s'en est suivit une discussion sur la structure, le style et la forme du travail. 
Les discussions de ce groupe tournèrent autour de trois question majeures : 
1) Quelle forme prend un texte historique? Un récit narratif ou un essai argumenté?
2) Quel serait le menu de navigation dans le site?
3) Quel logiciel pour gérer les textes et leurs évolutions?
Ils ont du organiser une nouvelle procédure de placement des liens afin que ceux-ci dévoilent tout le long de la lecture des articles connexes ou des annexes au texte principal.

Deux règles ont prévalu dans leurs travaux : 1) celle du contrôle du texte par son auteur (le texte doit garder son intégrité et son authenticité), 2) celle du contrôle de l'auteur lui-même à qui aucun écart n'est pardonné dans les informations qu'il dispense. C'est toute la force et le paradoxe du double contrôle.

Pour faciliter le recours aux liens textuels dans la consultation des travaux, Ayers et Thomas ont eu recours à un mind-mapping illustrant leur démarche.

Est-ce que cet outil se destine à la recherche historique réservé à un petit nombre d'initiés? 
Ou est-ce que ce site collaboratif peut contribuer à vulgariser des études historiques au profit du plus grand nombre d'utilisateurs néophytes? 

Il s'agit surtout d'une base de travail destiné aux chercheurs, en permanente réécriture.


Source : http://www2.vcdh.virginia.edu/AHR/

Critique approfondie Google Earth

Google Earth est un logiciel permettant de visualiser la Terre, entre autres, à partir de photos aériennes ou satellitaires. Il associe également à cela des reproductions en 3D des bâtiments, nous permettant alors de pouvoir observer avec précision différentes villes du monde, quasiment comme si nous y étions.

C’est un logiciel très facile à prendre en main et la navigation se fait de manière très fluide par rapport à un logiciel quasi-similaire comme Google Maps. En effet, grâce à la barre de recherche, il est possible de passer presque instantanément d’un lieu à un autre. Comme je l’ai évoqué précédemment, la vue en 3D permet d’avoir un aperçu des villes beaucoup plus parlant qu’avec une simple carte. La fonction street view elle, permet de parcourir les rues comme bon nous semble. Tout cela est très utile pour recueillir des informations sur l’urbanisme d’une ville ou sur ses sites touristiques. De plus, il est possible de rajouter des repères sur la carte et de les personnaliser. On peut également tracer très rapidement des itinéraires à main levée. Il est également possible d’afficher plus ou moins de filtres, comme les frontières, les routes, ou les bâtiments en 3D, en fonction des informations que nous recherchons. Tout cela permet la création de cartes entièrement personnalisées. Cela s’avère alors très utile dans le cadre d’un travail de recherche. Je m’en suis notamment servi pour mon portrait de ville afin de visualiser les différents axes routiers créés dans la ville de Gifu, au Japon.

Il est d’ailleurs ainsi possible de créer de véritables visites touristiques et de les enregistrer. Ceci permet alors de mettre en valeur un travail de recherche touristique en le rendant plus vivant qu’à travers de simples photos.

Mais Google Earth ne nous apporte pas seulement des informations d’ordre géographique ou urbanistiques. En effet, il est également possible de travailler sur le plan historique.

Tout d’abord, il est possible de visualiser les cartes des années passées. Il est possible, selon les endroits, de remonter plus ou moins loin et ainsi de comparer les cartes et voir l’évolution du paysage. Il est également possible d’ajouter notre propre carte afin de la superposer sur les cartes déjà présentes dans Google Earth. Cela permet ainsi de faire des comparaisons avec des cartes parfois beaucoup plus anciennes et ainsi voir de nombreux changements.

Google Earth est donc un logiciel très simple d’utilisation et très utile dans le cadre d’un travail universitaire. Cependant, aucun logiciel n’est parfait et il mériterait encore quelques améliorations.

En effet, les prises de vues de certaines villes ne sont pas nettes et manquent de détails. Souvent, la vue en 3D n’est pas non plus disponible, ce qui est regrettable lorsque nous étudions des régions peu connues. Cependant, étant donné la quantité incommensurable de données que propose ce logiciel, il est normal que tout ne puisse pas être traité, et en général, les cartes des grandes villes sont relativement récentes.

De plus, il n’est pas possible de partager une carte personnalisée sous forme de lien, contrairement à Google Maps. Cela est dommage à l’heure où le travail collaboratif devient de plus en plus courant.


Néanmoins, malgré ces petites remarques, Google Earth reste pour moi un logiciel très utile. En effet, dans le cadre de mon mémoire, et surtout lors de mon mémoire de deuxième année, il me sera très utile afin de visualiser les lieux que je souhaite insérer dans mon circuit touristique. Google Maps remplit également très bien ce rôle mais, pour ma part, je préfère utiliser Google Earth, beaucoup plus maniable, rapide et facile à utiliser. 

Critique ''The Machine is Us/ing Us"

Cette critique va porter sur la vidéo “The Machine is Us/ing Us” de Michael Wesch. Cette courte vidéo de 4 minutes 31 nous fait nous questionner sur notre rôle dans l’organisation du web ainsi que dans les possibilités que le numérique nous offre.

En effet, cette vidéo commence par souligner les différences entre le format papier et numérique. Ce dernier est beaucoup plus flexible, constamment soumis à des changements et ainsi, fondamentalement différent des écrits sur papier.

Le numérique est donc susceptible de changer à tout moment, comme nous le montre cette vidéo. En effet, en quelques années, les modes de codage des pages web ont évolué pour inclure de plus en plus d’éléments ainsi qu’en permettant plus de liens les unes avec les autres. Grâce aux liens hypertextes, toutes les pages web, et à plus grande échelle toutes les personnes, ont la possibilité d’être connectées les unes avec les autres.

Les informations sont donc accessibles en grand nombre et cela ne fait qu’augmenter. Cependant, il faut bien que cette information soit classée afin de pouvoir s’y retrouver plus facilement.

Cette vidéo nous fait prendre conscience de notre rôle dans le classement de celles-ci. En effet, en plus du système de tags que nous connaissons bien, en naviguant sur internet et en cliquant sur divers liens chaque jour, nous enseignons à internet lui-même nos habitudes et ainsi, nous lui permettons d’être plus performant et ainsi de mieux correspondre à nos attentes.

Ainsi, en parcourant simplement le web, nous laissons notre empreinte. La vidéo nous invite alors à nous remettre en question, ainsi que divers concepts comme les droits d’auteur, l’éthique voire même l’amour ou la famille.


Le web 2.0 permet donc de relier les êtres humains entre eux, tout en se servant d’eux afin de s’organiser. Cette vidéo nous permet donc de réfléchir sur l’évolution de la façon dont nous accédons aux informations, depuis le papier au numérique.

Note critique approfondie de Xmind

Xmind est un schéma heuristique : il permet de visualiser tes idées sous forme de topogramme (mind mapping en anglais). La Théorie du mind-mapping est basée sur les travaux du psychologue anglais Tony Buzan (1971) : on place au centre une idée générale, et tout autour on y rattache un ensemble de ramifications représentant les différents éléments de cette idée principale. Cette élaboration se veut être une construction logique, schématisée, en harmonie avec le fonctionnement naturel du cerveau. Et TheBrain, comme son nom l'indique, applique ce principe du Mind-Mapping.

J'avais auparavant utilisé TheBrain, un outil pédagogique efficace pour organiser son agenda personnel, organigramme d'entreprise ou ses projets personnels par exemple, mais cet outils proposait très peu de modèles autres que des schémas types, réservés seulement dans le domaine de l'entreprise. Si j'ai choisi Xmind, cette fois-ci, c'est justement parce que ce dernier nous offre davantage de modèles pour ses schémas, et il me semble qu'Xmind est beaucoup plus clair en terme de présentation. Par exemple, j'ai commencé à l'utiliser pour constituer mon tout premier plan imagé de mon mémoire sur « Le Xinjiang, point de vue stratégique dans le cadre de la création de nouvelles Routes de la Soie ». Avec Xmind, je place une idée principale et je la subdivise en idées annexes, et éventuellement j'y ajoute des liens qui permettent de relier les idées entre elles. Ainsi, j'ai pu découvrir de nouvelles fonctions que je n'avais pas vu sur TheBrain et a pu organiser mes éléments de recherche comme je le souhaitais. Par ailleurs, sa présentation est plutôt aérée, on peut même choisir les couleurs de sa représentation arborescente.

Contrairement à ThBrain qui présentait un schéma plutôt réducteur, Xmind s'avère plus diversifié en terme de présentations de modèles. Il en va de même avec de la conception uniforme et standardisée des branches et ramifications qui ne permettent pas de distinguer aussi facilement la spécificité des liens entre le sujet et les idées, c'est-à-dire la différence entre les idées fortes et les idées annexe.
En dehors de XMind, il existe d'autres map-mapping beaucoup plus manuels. Cela permettrait d'avoir plus de créativité dans le choix de ses idées. Par exemple : Freemind apporte une plus grande liberté dans la conception de nos schémas et permet également d'autres formes d'utilisations (telles que la fonction prise de notes lors des réunions).

Xmind est donc un outils très performant pour des applications dans le domaine de la recherche (que ce soit en Histoire, en Langues, Géographie ou organigrammes d'entreprises). Mais pour ceux et celles qui sont peu habile au maniement d'un mind-mapping, Xmind n'est pas le plus simple, il faudra dans ce cas utiliser TheBrain si l'on veut mieux appréhender son utilisation. Sinon, Xmind reste à mon avis l'outil le plus pertinent pour entreprendre des schémas et plans dans le cadre de la recherche.




Saturday, December 17, 2016

Note critique "Toute la mémoire du monde" - Mercier Emilie Master 1 RES

Pour cette note critique j'ai choisi « Toute la mémoire du monde » qui un documentaire et un court-métrage d'une vingtaine de minutes de Alain Resnais et date de1956 . Il nous plonge au cœur de la bibliothèque nationale de France et de son organisation avant de connaître le stockage par les ordinateurs. bibliothèque regroupant un grand nombre d'ouvrages mais pas que. La Bibliothèque Nationale de France en 1956 regorge de trésors de la civilisation, de tout ce qui à été tracé par l'homme et tout les ouvrages imprimé en France ; des manuscrits, des périodiques et des journaux du Monde, tout sortes d'estampes, de cartes et de plans sans oublier un musée comme la salles des médailles.
Quatre sources d’enrichissement de la BnF ; les dons, les achats, les échanges et les dépôts légal. La BnF est notamment la première institution de dépôt légal. Nous suivons alors le cheminement d'un ouvrage avant qu'il ne trouve sa place dans les rayons. A la réception, l'ouvrage est estampillé, il sera représenté dans le fichier où figure tout les éditeur de France. Par la suite une fiche signalétique sera établie, et sera classé dans différentes catégorises. 20 fiches de description de cet ouvrages en sortiront et seront stockées dans des casiers dans la salles des catalogues, le cerveau de la BnF maintenant remplacé par les serveurs. Par la suite l'ouvrage rejoindra sa place dans les rayons de plus de 100 km. Tout est fait pour la conservation de ces sources de mémoire inestimables, comme le contrôle de la température et de l'atmosphère, la restauration, la vaccination des livres qui sont toujours d'actualité je pense pour préserver les connaissances déposées sur papier.
Ce court-métrage des plus intéressant nous montre le travail méthodique de la BnF ;la collecte, le dénombrement , le tri, le classement et la numérotation.

Note critique approfondie Googe Earth - Mercier Emilie Master 1 RES

J'ai choisi d'approfondir l’outil de données spatiales Google Earth ; Il s''agit d'un logiciel gratuit de l'entreprise Google qui permet une visualisation de la Terre, du ciel, de Mars et de la Lune. Il permet à l'utilisateur de naviguer sur différents lieux de son choix même s'il sont difficiles d'accès, de trouver des lieux importants, de pouvoir avoir des vues satellites qui sont de qualités ou alors utiliser la fonction Google Street View intégrée. Avec la visualisation en 3D des bâtiments et de la végétation tout cela donne une rendu on ne peut plus réel même si cela reste encore en développement. J'ai récemment appris qu'un simulateur de vol sur la zone de notre choix pouvait être possible.

Nous pouvons créer des dossiers en ajoutant avec des repères tout les lieux que nous avons sélectionné, quand nous ajoutons un repère nous avons la possibilité d'ajouter une légende, d'ajouter une source photographique, de choisir l'altitude, et de changer pleins d'autres paramètres. De plus de nombreux outils peuvent être utiles comme les polygones qui avec quelques manipulations des paramètres faire ressortir en prisme faisant ressortir un lieu bien précis. Nous pouvons ajouter des trajets, mesurer à vol d'oiseaux la distance entre deux lieux, faire une superpositions d'images, ce que j'ai fais d'ailleurs pour la carte personnalisée. Nous pouvons également de concevoir un enregistrement vidéo des lieux. L'un des outils que je trouve intéressant sont les images d'archives qui permettent de montrer l'évolution, le changement d'un lieux permettant dans une perspective de recherche comme par exemple, l'évolution de la fonte des glaciers sur le continent de l’Arctique ou encore, le développement d'une ville dans une période de 20 ans. Lors de l'ouverture, un bon nombre de mode d'affichage sont omis, mais que nous pouvons ajouter avec le menu Affichage. De nombreux calques sont disponibles, ils permettent de juxtaposer sur le support typographique, nous pouvons délimiter des zones comme les frontières et les légendes. Les routes, le nuages, des parcs, des cours d'eau et des lieux importants et tant d'autres. Mais le plus intéressants dans ces calques reste les calques sur la sensibilisation mondiale qui sont des calques des organisation à but non lucratif ou des associations. Ou encore les calques de la galerie, regroupant des calques de données scientifiques, des photos d'archives , des textes scientifiques. Pour finir cet outil de données spatiales permet de découvrir et de faire nombreuses choses, que ce soit dans la découverte du monde, la visualisation des lieux et la visualisation des espaces, l'exploration scientifique notamment. Avec toutes ses fonctionnalité ce logiciel permet de créer de nombreuses cartes différentes. C'est également un outil très utile pour des étudiants en tourisme, en science de la vie et de la terre, ou des historiens qui peuvent s’appuyer sur les calques. Je trouve que c'est également un outil éducatif où tout le monde peut explorer et en apprendre d'avantage sur la planète bleue. Google Earth présente quelques similitudes avec Google Maps dans le fait de rechercher des lieux et en obtenir des itinéraires. Je pense que Google Maps sert plus pour la recherche d'itinéraire et la création de carte alors que Google Earth sert plus pour l'exploration et l'apprentissage.



Critique de la vidéo « Toute la mémoire du monde »

Ce documentaire est une vidéo de 20 minutes réalisé par Alain Resnais en 1956. Il a pour but de nous présenter le mode de fonctionnement de la Bibliothèque Nationale de Paris bien avant l’aire de la numérisation des livres, articles, images, cartes et documents … que l’on connaît aujourd’hui et cela depuis le début des années 2000.

La Bibliothèque de Paris, comme toutes les bibliothèques à travers le monde, n’a pas pour seule fonction que la consultation en plus ou moins libre service de documents papier ou informatique. Elle est aussi un lieu de conservation et de réunion d’une partie de la « mémoire du monde », c’est à dire les traces encore présentes aujourd’hui des civilisations passés.
Plus question de nos jours d’avoir à parcourir des milliers de kilomètres de couloirs où s’entreposent des montagnes d’ouvrages, classés, numérotés, fichés de façon méthodique et à la main par les centaines de bibliothécaires qui travaillent tous à pied d’œuvre pour tenter de créer une structure la plus précise possible dans cet oasis de trésors et d’informations.
Pour ce faire, chacun des ouvrages ou documents sont soumis à une identification méticuleuse, donnant suite à la rédaction, manuscrite, d’un grand nombre de fiche les décrivant. Ces fiches d’identifications seront ensuite interposées dans des tiroirs organisés eux-même par mots clés dans ce qui constitue le « cerveau » de cette « forteresse » de données, avant d’être placés en rayons.

A dire vrai, je ne m’étais jamais posé de question sur le fonctionnement des bibliothèques modernes ou plus anciennes. Grâce à ce mini-film, j’ai pu réaliser pleinement de l’importance d’un tel lieu qu’est ce « labyrinthe » de la connaissance. De plus, je trouve que le caractère ancien du reportage (musique, images en noir et blanc…) provoque, encore un peu plus, une certaine admiration devant le remplissage de cette tâche fastidieuse.


Critique approfondie – Flickr

Flickr, de la contraction Flick through (feuilleter) est un site web collaboratif de partage gratuit de photographies et de vidéos. En août 2011, le site comptait déjà plus de six milliards de photos partagées.
Bien que la version gratuite du site offre une grande capacité de stockage d’un terra-octet, deux autres versions « Pro » sont proposées à 5,99$ le mois ou 49,99$ l'année.
Il existe une application mobile disponible sur Android et Apple Store.
Flickr a été crée par l’entreprise canadienne LUDICORP en 2004 et a ensuite était rachetée par la firme américaine Yahoo en 2005.

La dernière mise à jour de Flickr apporte un design agréable et fluide à la page de connexion. Afin de mettre en avant les photos les plus originales de la plateforme et ainsi attiser la curiosité de l’utilisateur en devenir, Flickr a opté pour une présentation en continue d’images postées par les utilisateurs eux-mêmes. Le site étant utilisé à la fois par des amateurs de photographie et des professionnels, les photos de présentation sont tous naturellement magnifique.

Une fois inscrit avec notre compte Yahoo déjà existant, notre profil s’affiche. A nous désormais de le remplir aux gré de nos envies. Pour cela, 4 principales actions s’offrent à nous : « Flickr » (qui n’est autre que le bouton menant à la page d’accueil), « Vous » (notre profil), « Explorez » et « Créer ». L’onglet « Explorez » permet d’avoir accès entre autre aux photos postées par les membres de la communauté, aux photos tendances du moment, aux blogs Flickr ainsi qu’à une carte mondiale de partage de photo. En fonction des points roses choisis sur cette carte, il est possible de voir les photos qui sont géolocalisées. L’onglet « Créer » quand à lui permet de créer des objets tel qu’un album photo ou encore un tableau avec les photos de notre choix.
Notre page de profil est le lieu où est inscrit le nombre de nos abonnés et abonnements, mais également le lieux de stockage de notre bibliothèque photo personnelle (« Pellicule »), de notre « Galerie » publique, de nos « Albums » personnels, nos « Favoris », nos « Groupes » de partage de photo, les « Stats » (statistiques) de notre page et enfin l’onglet de « Création » qui renvoie aux mêmes fonctionnalités que l’onglet « Créer ».
Une fois sur la page d’accueil, nous avons alors accès aux photos « vedettes » partagées par la communauté. Une grande partie de ses photos proviennent de compte d’utilisateur pro. Il n’est pas rare de tomber sur des comptes portant le nom d’une grande marque comme Quiksilver.

Sur cette page d’accueil on peut également trouver un onglet « Your Best Shot 2016 », qui est un album où chaque utilisateur peut y ajouter sa photo préférée de l’année 2016.
Les recherches sont assez précises et peuvent être faites à partir de mots-clés/tags ou encore de nom d’utilisateur.

Une application est aussi proposée par le site afin d’avoir accès à des photos à regarder sur 360° en utilisant le casque Samsung Gear VR (casque de réalité virtuelle) préalablement acheté (le prix étant d’une centaine d’euros).

On peut également prendre en compte la tentative d’humour des administrateurs du site pour nous signaler le nombre d’espace utilisé et nous proposer plus facilement la version Pro.











Pour résumer cet outil, je peux dire qu’il est assez simple d’utilisation, agréable esthétiquement mais 
aussi bien pratique pour les recherches photographiques d’un mémoire ou encore pour prendre du bon temps devant de magnifiques clichés sans avoir à sortir de chez soi et à débourser de l’argent pour des expositions.