Vannevar Bush fut le directeur Département
de la Recherche Scientifique et du Développement des États-Unis, et a dirigé
les travaux de recherches de très nombreux scientifiques au cours de la Seconde
Guerre Mondiale. Au sortir de la guerre, il écrit un article « Comme nous
pouvons le penser » où il encourage les scientifiques du monde entier à se
servir des outils technologiques non plus pour faire la guerre, mais pour
partager et mettre en commun leurs connaissances.
Le principal problème soulevé par Bush est la conservation des documents. Il explique que des milliers d’ouvrages, articles, recueils, et autres ont été perdu dans la masse d’informations produites jusqu’à alors, et qu’ainsi certaines connaissances se perdaient à travers le temps pour ne ressortir que bien plus tard ou tout simplement ne jamais remonter à la surface. Ainsi, constatant les nombreux progrès technologiques, notamment dans le secteur de la photographie et celui de l’automobile, il émet l’hypothèse de futurs outils capable d’organiser, de classer, et de mettre à disposition toutes les productions scientifiques.
En réalité, il s’avère que Vannevar Bush fut un remarquable visionnaire. En effet, dans cet article on retrouve des descriptions d’appareils photos proches de nos appareils photos numériques actuels, de nos caméras « Gopro » que nous pouvons nous accrocher sur le front, et qui prennent des photos en un clic. L’outil le plus convaincant parmi ses inventions se nomme le « memex ». Le memex n’est ni plus ni moins que la représentation actuelle d’un moteur de recherche comme Google. Il imagine un bureau, où les informations seraient classées, rangées, triées, interconnectées entre elles, et à disposition du premier venu. Ce memex comporterait un clavier et des écrans, une mémoire pouvant stocker des millions d’informations. Les documents seraient donc classés comme dans une immense bibliothèque, mais avec la possibilité en plus de les modifier à volonté. Ainsi, le memex serait le parfait exemples de la conservation de connaissances.
Le principal problème soulevé par Bush est la conservation des documents. Il explique que des milliers d’ouvrages, articles, recueils, et autres ont été perdu dans la masse d’informations produites jusqu’à alors, et qu’ainsi certaines connaissances se perdaient à travers le temps pour ne ressortir que bien plus tard ou tout simplement ne jamais remonter à la surface. Ainsi, constatant les nombreux progrès technologiques, notamment dans le secteur de la photographie et celui de l’automobile, il émet l’hypothèse de futurs outils capable d’organiser, de classer, et de mettre à disposition toutes les productions scientifiques.
En réalité, il s’avère que Vannevar Bush fut un remarquable visionnaire. En effet, dans cet article on retrouve des descriptions d’appareils photos proches de nos appareils photos numériques actuels, de nos caméras « Gopro » que nous pouvons nous accrocher sur le front, et qui prennent des photos en un clic. L’outil le plus convaincant parmi ses inventions se nomme le « memex ». Le memex n’est ni plus ni moins que la représentation actuelle d’un moteur de recherche comme Google. Il imagine un bureau, où les informations seraient classées, rangées, triées, interconnectées entre elles, et à disposition du premier venu. Ce memex comporterait un clavier et des écrans, une mémoire pouvant stocker des millions d’informations. Les documents seraient donc classés comme dans une immense bibliothèque, mais avec la possibilité en plus de les modifier à volonté. Ainsi, le memex serait le parfait exemples de la conservation de connaissances.
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